top of page
  • Cécile Guéret

Enquête : La bienveillance au travail, c'est possible !


Psychologies magazine, avec le réseau Entrepreneurs d’avenir, a lancé en 2011 l’Appel à plus de bienveillance au travail, signé par plus de trois cents entreprises représentant quatre cent vingt mille salariés. Un an plus tard, quelles actions concrètes ont été mises en place ? Voici quatre directions à suivre et des initiatives exemplaires, commentées par le psychiatre Éric Albert.

Améliorer le bien être

Salles de jeux, de sport, jardins partagés, mise à disposition de paniers bio… Dans ce domaine, les entreprises ne manquent pas d’imagination pour chouchouter leurs salariés.

Pour son entreprise nantaise de communication responsable, Alexandre Legendre a, par exemple, aménagé un poulailler et un potager, « pour s’occuper de la terre pendant les pauses et ne pas être toute la journée devant son ordinateur ». Il y a ceux qui améliorent le cadre de travail : matériel ergonomique, locaux lumineux, spacieux, feng shui… Ceux qui aident à équilibrer vie professionnelle et vie privée : horaires aménagés, télétravail, garderie d’enfants… Ceux qui cherchent à donner du sens au travail de chacun, à le rendre plus intéressant en permettant, par exemple, aux salariés de développer des projets qui leur tiennent à coeur. Ou qui prêtent attention à la santé de leurs collaborateurs en soutenant l’arrêt du tabac, en proposant des abonnements Vélib’ ou des cours de gym…

Ainsi, chez MMA, groupe de mutuelles et assurances, les salariés peuvent bénéfi cier de consultations psy, confidentielles et hors temps de travail, en cas de difficultés personnelles. En proposant tout cela, les entreprises montrent à leurs collaborateurs qu’elles ne les envisagent pas seulement comme une force de travail, mais les considèrent dans leur intégralité, en tant que personnes. Elles les encouragent aussi à être attentifs à leur corps, à leur vie familiale. Pour que les individus se sentent bien… ou pas trop mal. Car les motivations ne sont pas que philanthropiques : la jurisprudence rend désormais l’entreprise responsable de la non-protection de la santé physique et mentale de ses salariés.

LES PIÈGES À ÉVITER : « Attention à ce que l’entreprise ne soit pas toute-puissante en régentant tous les aspects de la vie de ses salariés à qui elle demande, en échange, d’être à sa disposition, prévient Éric Albert. (...)

Sommaire

  • Améliorer le bien-être

  • Poser un cadre

  • Changer les comportements

  • Partager la gouvernance

  • A lire - A voir

Retrouvez l'intégralité de l'enquête sur psychologies.com, ici.

25 vues0 commentaire
bottom of page